En Hongrie et en URSS, les tribulations d’intellectuels du XXe siècle

Après deux romans sur la Seconde Guerre mondiale en Bulgarie et en Yougoslavie sous occupation hongroise, et après deux récits de déportation au Kazakhstan et en Sibérie sous Staline, voici bientôt deux récits littéraires empreint d’humour et d’absurde, dont le thème commun est le goulag (façon Hongrie des années 1950 et URSS des années 1980), tel que vécu par des intellectuels.

Le premier est un livre dont la traduction française est tellement confidentielle que même la bibliothèque nationale hongroise s’avoue vaincue : impossible de mettre la main sur un exemplaire de l’édition française (1965). Je me suis donc rabattue sur la version anglaise (1962) de ce texte dont l’original hongrois n’a officiellement paru en Hongrie qu’en 1989. Il s’agit de Les beaux jours de l’enfer, du poète hongrois György Faludy.

>>> Retrouvez ma chronique sur ce lien

Le second sera bien plus facile à trouver dès qu’il aura paru en traduction française (aux éditions Noir sur Blanc le 10 février ; publication originale en 2010). Il s’agit de Ténèbres sacrées. Les derniers jours du Goulag, de l’universitaire et homme politique géorgien Levan Berdzenichvili.

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C’est sur Passage à l’Est !, et c’est à partir de demain.

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